Albert 1er ( place )


  
Place Albert 1er

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 La place n'existait pas en 1850                                                                                            
 au rond jaune emplacement de la place, octroi séroule/ chaussée de Heusy                                                       
 



               
Le dimanche 28 Juillet 1878, le roi Léopold II vint inaugurer le barrage de la Gileppe.
            
              Les Verviétois voyaient grand et soumirent au souverain un   programme extrêmement chargé pour lequel il hésita d'abord à donner son accord. L’inauguration du barrage devait coïncider avec celle des nouveaux quartiers des boulevards de la ville construit par la " société immobilière, (escaliers de la paix et avenue Peltzer).

              Ainsi donc l'après-midi, le cortège royal partit vers les nouveaux quartiers où le président de l'"immobilière Verviétoise" Renkin Hauzeur parla au nom de cette société et de MM Peltzer Hanlet et Nicolaï dont les noms allaient être donné aux nouvelles artères; il magnifia l'action de Victor Besme ( dont une rue de Lambermont porte son nom) à qui l'on doit cette extension de la ville ( 100 hectares).

               Enfin l'orateur annonça la décision de nommer la place du Centre, c'est à dire l'endroit où le souverain s'est arrêté d'où l'on découvre un prestigieux panorama vers le Nord; place Repos du Roi.
                Au lendemain de la guerre 1914-1918, cette place fut débaptisée et nommée "place Albert Ier (1920)
                                                                                                                

                                                                                                           Albert 1er 1875-1934
                                                                                                                            
                                                                                                                    

                                                                                                                
   
















                   



          Il devient l'héritier présomptif de la couronne en 1905 à la suite des décès successifs de son cousin le Prince Léopold fils unique du roi Léopold II ( cfr rue du Prince ) , en 1869, puis de son frère aîné le prince Baudouin en 1891 et enfin de son père le prince Philippe en 1905.

                    Le prince Albert et la future reine Élisabeth s'étaient rencontrés en 1897 à Paris, lors des funérailles de la duchesse d'Alençon, morte tragiquement dans l'incendie du Bazar de la Charité. Quelques mois plus tard le jeune prince ose faire sa demande en mariage : « Croyez-vous que vous pourriez supporter l'air de la Belgique ? ».

 Les noces sont célébrées en 1900. .

                     Albert et Élisabeth ( cfr avenue Élisabeth) s'installent dans un hôtel de la rue de la Science. Le couple, très rapidement parent de trois enfants, mène une vie simple, sans grand apparat. Cette image de bonheur familial sera un des piliers de la popularité d'Albert Ier. Ils fréquentent peu le roi Léopold II, qui meurt la même année que le père de la princesse en 1909.

                    Le 23 décembre 1909, la foule présente à Bruxelles réserve un accueil particulièrement chaleureux au nouveau Roi. Albert Ier est le premier souverain à prêter serment en français et en néerlandais. Durant les premières années de son règne, Albert Ier se cantonne strictement à son rôle constitutionnel. Il s'entoure de personnalités de tendance libérale. Il tente également de rapprocher la monarchie du peuple, notamment en supprimant l'escorte armée qui le séparait de la foule et en autorisant les journalistes à l'accompagner dans ses déplacements. 

          Son règne allait être empreint d'épreuves et de gloire. Dès 1913, il se défiait des visées belliqueuses de l'Empire d'Allemagne et s'était entretenu discrètement avec la France de ces préparatif menaçants. 


              Le 4 août 1914 , c'est l'invasion; à la chambre de Députés, le roi galvanise le Parlement: j'ai foi dans nos destinées, s'écrie-t-il, un pays qui se défend s'impose au respect de tous; ce pays ne périra pas.

                Le 05 Août, du Palis de Bruxelles, il lance cette fière proclamation " à l'Armée de la Nation".

                 « Si l’étranger, au mépris de la neutralité dont nous avons toujours scrupuleusement observé les exigences, viole le territoire, il trouvera tous les Belges groupés autour du Souverain, qui ne trahira jamais son serment constitutionnel, et du Gouvernement investi de la confiance absolue de la nation toute entière. J’ai foi dans nos destinées : un pays qui se défend s’impose au respect de tous, ce pays ne périt pas. Dieu sera avec nous dans cette cause juste. Vive la Belgique indépendante ! »

                  Jusqu'en 1918, il refuse de rejoindre le commandement unique interallié et de participer aux grandes offensives meurtrières de la Somme, de Verdun et de Passchendaele, ce qui permet de limiter le taux de mortalité dans l'armée belge à 1 sur 50. En septembre 1918, lorsqu'il est enfin convaincu de la victoire finale des Alliés à la suite de leur offensive victorieuse, il accepte le commandement unique interallié et ordonne en septembre 1918 d'engager l'offensive contre l'armée allemande dans les Flandres. Après la victoire de la forêt d'Houthulst et au bout de deux mois de combats qui avaient repoussé l'ennemi jusqu'à Gand, l'armée belge et le roi entrent dans cette ville où leur parvient la nouvelle que l'Allemagne venait de signer l'armistice de Compiègne



































 











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