Cette rue rappelle, en ces termes poétiques, une dénomination déjà utilisée en 1589, pour désigner la voie comprise entre Pétaheid, sur les joncs et le thier de Hodimont. Jadis , ce fut là que l'on exécutait par pendaison les coupables condamnés par la seigneurie de Grand-Rechain.
Les deux composantes de cette dénomination sont de compréhension aisée: la présence de bruyères sur ce plateau et les fourneaux si courants en nos régions soit pour fondre le fer, soit pour fabriquer du charbon de bois.
La ferme de ce nom appartient, depuis l'ancien régime, à la famille du chirurgien Jean Collette, décédé en 1982.
ce château se situe; entrée principale rue des bruyères du fourneaux et d'autre entrées donnent accès a la rue des combattants...
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