Gueury (rue)






     Partant de la rue Jules Feller ( ex cité) vers le Sud, elle voit déboucher à sa droite la rue des Lyciet (ex Ad. David) pour se terminer en impasse parallèle à la rue des Etangs. 

Gueury Lyciet


    





















        

        Située au quartier dit du « Vélodrome » elle reçut d’abord la dénomination de rue du « Suffrage Universel » (29 mai 1906) pour devenir ensuite la rue Gueury actuelle. 

     Eugène Gueury était un filateur dont les ateliers passèrent ensuite à Madame Veuve Mathieu Snoeck transformant la filature en ateliers de construction de machines textiles, (cfr. rue Snoeck).


                                                         Gueury Lyciet

















         En 1951 Jules Peuteman décrivait la rue: 

           Tracée de Sud-Est à Nord-Ouest, et longue approximativement de 260 mètres, avec une largeur de 12 mètres, elle commence rue de la Cité (n° 48) et finit en impasse. 


           Elle court donc parallèlement à la rue des Etangs.

        Une décision du Conseil communal, en date du 29 mai 1906, lui fit porter le nom de rue du Suffrage universel.

          Mais cette appellation n'eut qu'un sort éphémère ; on la changea, le 22 janvier 1908, pour rappeler le souvenir de Pierre-David-Eugène Gueury, industriel, échevin d'Ensival (1865-1868)

rue de la cité (J. Jongen )


se trouvant en contrebas du quartier Peltzer ( extension Sud de Verviers) des maisons y ont été construites avant 1880, ce qui a eu pour conséquence de lui conférer , avant 1906, le nom de rue de la Cité. Cette rue se caractérise aussi par le fait que sur la moitié de sa longueur elle est constituée de maisons d'ouvriers, identiques et sur l'autre moitié, de maisons d'employés car elle est aussi près de la gare de Verviers que de celle d'Ensival.


à gauche de la maison bleue , les maisons-types ouvriers et à droite ,, celles pour employés , construites , pour la plupart avant 1880





1850

1777









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