Nombreux sont les Verviétois qui ont parcouru depuis leur plus tendre jeunesse, les solitudes fagnardes et apprécient leur judicieuse évocation en cette rue qui y conduit.
Déjà nos rues évoquaient un chantre de ces lieux : Albert Bonjean à qui fut consacré un square (voir).
Des sociétés locales y conduisent chaque année des centaines de promeneurs : Fania, les Canneberges, et les Amis de la Fagne dont une prestigieuse revue s’efforce avec succès d’illustrer le haut- plateau.
Une copieuse bibliographie énumère les auteurs (historiens, poètes, géologues, botanistes, etc.) qui ont étudié cette remarquable région. Un regret achève ces lignes : alors que tant de dénominations nouvelles sont peu justifiées, comment n’a-t-on pas donné à une de nos artères le nom de celui qui les a si artistiquement peintes : l’artiste Georges Lebrun, dont le polyptique est au Musée Communal ?
1850 |
1777 |
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