Hurard (rue Henry)



          Les berges de la Vesdre sont l’objet de considérables transformations entre le pont du Chêne et celui des Récollets. 

       Une trémie va permettre de passer sous le pont du Chêne, en provenance de l'ex rue David et en direction de la place du Martyr, une large chaussée ayant remplacé les immeubles qui se trouvaient entre la rivière et la rue du Canal ; celle-ci n’a donc plus de maisons qu’en son côté Sud ; plus à l’Est, la rue du Marteau n’a de maisons qu’en son côté Sud également, celles du côté Nord ayant fait place à la nouvelle large artère. 

      Aujourd’hui, cette rue a reçu la dénomination de rue Henri Hurard (C.c.V. 14-12-81).


1850


1777
















           Henri Hurard Verviers 26/12/1876, Verviers 02/01/1943 Chansonnier, musicien, poète et dramaturge,

          Henri Hurard s’affirme, durant l’entre-deux-guerres, comme l’un des plus grands auteurs dramatiques wallons. Contribuant à la création de la Ligue wallonne de Verviers, membre de nombreuses sociétés, celui qui exerce le métier de représentant de commerce collabore à divers journaux et revues, notamment 

         L’Écho wallon, Franchimont et Le Réveil wallon. Secrétaire-correspondant de l’Union des Scriyeûs, régisseur du cercle littéraire L’Élan wallon et membre titulaire de la Société de Langue et de Littérature wallonnes, il est l’auteur de Lu Coq walon, poème qu’il dédie, en 1914, à la Ligue wallonne de Verviers, et qui est mis en musique par Fr. Gaillard.

       Auteur dramatique wallon de pièces en un ou trois actes, il collabore avec Alfred Dandenne sur la comédie Maupinsante (1903). Parnassien, il est le premier à aborder dans le théâtre wallon le thème de l’adultère, avec sa pièce Aux vérts Volets, qui est présentée au Trocadero pendant quinze jours, en 1924


creusée dans la rue du marteauégende


Que de changements pour cette rue
S’il est un endroit qui a bien changé c’est bien ici. Qui se souvient encore de chez Giesen (ci à gauche ) le marchand de cuisinières à l'entrée des deux rues Marteau Canal  (anciennes et pittoresques rues de Verviers que ces deux-là), le magasin du « Bricoleur » où on pouvait acheter, outre les trains électriques et les jouets plus tout un matériel de bricolage, des moulures pour faire des cadres (qui étaient « toupillées » par le bricoleur lui-même, c.à.d. Monsieur Westlaf ou Westfall, qui se souvient de l’orthographe exacte du nom de ce commerçant ? . 

                                                                                                                            



  
         


       La rue Henry Hurard débutait au pont du chêne  ou le café portant l'enseigne "taverne Britannique en faisait l'angle (photo ci-contre ) elle logeait le canal des usines (photo ci-dessous )



Pour s'incurver vers la droite (à la passerelle et arvô)  







pour enfin arriver à la passerelle qui permettait de passer de la rue du Marteau à la rue du brou via un arvô

suivez la flèche pour arriver à la passerelle via usine Voos qui gardera son nom aux fameuses "galeries".





dos à la rue du brou à gauche rue Henry Hurard en face rue du marteau après démolition usine Voos et bien entendu canal des usines. Ce site rencontrera encore nombreuses modifications.











Pour en arriver où je me pose la question!!





























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