Paradis (rue du)





      C’est une rue récente de ce quartier Nord créée à la fin du XIX° siècle ; on y accède à pied par l’antique montée des Hautes Mezelles et c’est son altitude qui lui a valu le nom de « Paradis »,il lui attribué par le Conseil communal le 4 mars 1895. 

     Elle renfermait un complexe d’habitations sociales qui, sous les numéros 80 à 102, hébergeait quelque quarante personnes âgées. la silhouette de cette série d’habitations en briques rouges et aux toits d’ardoises, domine la cité et est familière aux Verviétois. 

ouvriers lors de la construction


    






       C’est la Commission d’Assistance Publique (aujourd’hui « Centre public d’aide social »), qui édifia ces constructions aux environs de 1900.

      Elle commence au-dessus de la rue des Hautes-Mezelles, près de la rue des Jardins (temple Antoiniste) et, à hauteur de la rue Haute qui descend vers la rue Fonds-de-Loup (toutes deux sur le territoire d’Andrimont), elle entre à Andrimont où elle constitua la limite entre cette commune et Verviers, jusqu’à ce qu’elle < prolonge par la rue Albert Thomas, après avoir dépassé la rue Pierre Limbourg (Verviers).





a partir de la fléche (rue Haute) les immeubles à droite sont sur Verviers, à gauche Dison.










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