Préry (rue)






          A son sommet, la rue du Canal se prolonge vers le Sud : à droite, c’est la rue Dederich, à gauche c’est le chemin du Préry qui se termine au carrefour chemin du Bassin, le Casse-Gueule et les K’mognes qui la prolongent. 

         









Elle doit son nom au ruisseau : le Ry des Prés, aussi appelé simplement le « Ry », nom que l’on retrouve avec des variantes dès le XVIe siècle dans de nombreuses archives.

       C’est un affluent de la Vesdre qui prend sa source au Sud, en provenance de nappes aquifères souterraines : Jonckeu, Sapinière et vers Sohan.

       

Entre le Hameau du Bois et les K’mognes, il se grossit du « Piedvache »


et ira alimenter le bassin de natation, pour finalement, mué en égout du quartier en expansion, être voûté jusqu’à son embouchure, passant ainsi sous la rue du Canal, le chemin de fer, la rue de la Station, le Ponçay, la rue de l’Eglise et la rue de la Maison commune, et enfin, en diagonale, sous la Grand-Place, pour se jeter dans la Vesdre au Pont d’Ensival. Comme on le lira ailleurs, ce cours d’eau joua un rôle séculaire en matière de limites administratives.


Comme on le lira ailleurs, ce cours d’eau joua un rôle séculaire en matière de limites administratives.
La Raye (ferme et pont)   mi-côte de la rive gauche de la Vesdre, et en prolongement de la rue Gérard’Heid, vers l’Ouest, le bois de la Raye, un des survivants de la forêt épiscopale, est contigu à la ligne de chemin de fer ; il constitue la limite entre Ensival (Verviers) et Pepinster.

Un pont de ce nom franchit la Vesdre vers l’autre rive : Vovegnez, à Wegnez devenu Pepinster ; il permet de passer d’une rive à l’autre afin d’assurer la communication avec le hameau de la Raye, Bellevue et le Bois.
Un autre pont, celui-là destiné au chemin de fer, porte également le nom de la Raye ; il a été reconstruit après la guerre (1940-45) en pierre et béton.

Nos toponymistes se perdent en conjectures sur le sens de ce nom ; on cite à titre de comparaison la « Longue Raie » à Paris, en Seine et Oise, en Calvados, etc. (cfr. J. Peuteman).





la tram arrive au bassin

Jules  Peuteman nous dit;


 PRERY ( chemin de  )

           Il figure à Y Atlas sous le n° 11. C'est celui qui menait du village au Fond de Piévache. Il est représenté, de nos jours, par les rues de la Station, du Canal, et Joseph Déderich, puis se poursuit sous son ancienne désignation.

PRÉRY (rue du ~) .

Partie de l'ancien chemin d'exploitation n° 16, dit des Communes, cette calme et coquette artère unit la rue Joseph Déderich au bas de la ruelle au Sablon.

PRÉRY (ruelle du ~).


C’est le passage, relativement peu fréquenté, unissant l'ancien chemin du Préry à la rue de la Montagne. Il procure des vues pittoresques sui la Donheid et la Houckaie, aussi bien que sur les jardins proches de sur les Agaux et Coukmont. Mentionné à Y Atlas sous le n° 43.





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